jeudi 5 juin 2025

                                         Mise au point.


Dans cet article j'aimerais clarifier 2 choses . 

Primo.

Je reste convaincu que si l’on rend quelque chose public, il faut aussi accepter les retours et les critiques, qu’ils soient positifs ou non.C'est pourquoi les commentaires restent accessibles et sont les bienvenus.

J'ai juste activé la modération avant publication , pensant que le sujet passionnerait beaucoup de monde et induirait beaucoup de retour . Ce n'est heureusement pas le cas mais sauf exception , tout est publié et j'essaie d'apporter une réponse en retour .

Cependant , dernièrement une personne a envoyé un message dans un français approximatif où il vendait une roue fonctionnelle des 120 cm pour 120 Euros .  Si une telle roue existait réellement à ce prix-là, il ne serait sans doute pas nécessaire d’en faire la promotion via mon blog

Le but du blog étant d'informer le plus clairement possible sur ma passion , mon hobby , et d’ouvrir, si besoin, un espace de débat autour de ce sujet. Il est d’autant plus important de faire avancer les choses lorsque l’on comprend l’ampleur des retombées pour le monde en cas de réussite.

Secundo.

Le titre de cet article reflète parfaitement l’état actuel du projet : il s’agit désormais d’une véritable mise au point. Cela prend du temps et c’est justement ce qui me fait le plus défaut en ce moment. Je rassure tout le monde , je continue cette belle aventure . . .

J’aimerais partager ici un poème qui résonne particulièrement avec le sujet abordé, et dont chaque phrase (ou mot) pourrait toucher certaines personnes.Ce poème provient d'un certain Andrew U. 

Le temps tourne, mais ne s’arrête pas,
Un A gravé au cœur du paysage là-bas.
Une onde traverse le silence ancien,
Gravée dans l’éther, loin des chemins.

Une roue cachée murmure au matin,
Les lois s’inclinent devant son chemin.
L’invisible norme, je l’ai reconnue,
Dans un cercle d’ombre et de lumière nue.

Un signe, une forme, une vérité voilée,
Par l’aérodrome, vous me l’avez envoyé.
J’ai lu vos pas dans la poussière fine,
Et vos lumières dans la brume divine.

Si votre venue ne porte ni peur ni fureur,
Si vos intentions résonnent en douceur,
Alors approchez, sans masque ni guerre :
Je tends la main, ici, sur cette Terre.

L'aventure continue . . .